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mercredi 20 février 2013

Découverte d’un gène viral mortel dissimulé dans des céréales OGM commercialisées

fév 10th, 2013 Google +6
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Quelques mois seulement après qu’une étude aujourd’hui célèbre ait découvert que le maïs NK603 génétiquement modifié de Monsanto entraîne de sérieux dommages et des tumeurs sur les mammifères, un article publié par l’Autorité Européenne de Sécurité Alimentaire (AESA) a mis
au jour que la plupart des OGM d’usage commercial actuels contiennent
un gène viral dissimulé qui semble dangereux à consommer par les
humains.

Cet important article met en lumière le fait que 54 caractères OGM sur
86 actuellement approuvés pour utilisation, ou en gros 63 %,
contiennent un étrange gène viral nommé  »gène VI », qui, selon les
recherches, altère la fonction normale des céréales.

Cette altération est présente dans une majorité d’OGM largement
cultivés et commercialisés aujourd’hui, dont les maïs NK603 et MON810,
ainsi que les graines de soja Roundup-Ready, tous produits par
Monsanto. Et les chercheurs ont découvert que ce gène mutant peut
induire des changements accidentels dans le phénotype, qui peut
entraîner des mutations physiques et biochimiques graves dans les
organismes.

»Au cours de l’analyse d’identification d’allergènes potentiels dans
les céréales OGM, l’AESA a découvert tardivement que la séquence de
régulation génétique habituelle des OGM commerciaux encode aussi un
fragment important du gène viral », explique Independant Science News
(ISN) à propos de la découverte.

Basée sur une recherche antérieure impliquant un lien entre gènes
viraux, plantes et santé humaine, la nouvelle découverte soulève de
sérieuses inquiétudes sur la sécurité de nombreux OGM à production
commerciale actuels. Comme le but inhérent des gènes viraux est de
désactiver un hôte ce qui autorise une invasion pathogène, leur
présence dans des aliments contenant des OGM représente une grave
menace aussi bien pour les plantes que pour la santé humaine.

Le Gène VI, preuve tangible que les OGM sont impropres à la consommation humaine

Jusqu’à présent, l’industrie de la biotechnologie a maintenu que les
OGM sont virtuellement identiques aux organismes naturels, et qu’il
n’y a aucune différence structurelle ou fonctionnelle entre les OGM et
les céréales cultivées naturellement pour leur devenir dans le corps
humain. Mais la présence du gène VI dans une grande majorité d’OGM
déboulonne complètement ce mythe.

Comme les céréales naturelles ne possèdent pas le gène VI, elles ne
risquent pas d’engendrer les mêmes infections virales que les OGM en
contenant. Selon l’analyse sur la fonction du gène VI, le défaut
génétique facilite non seulement l’assemblage de virus potentiellement
tueurs dans le tissu de la plante, mais il supprime aussi les défenses
naturelles contre les maladies, rendant les céréales et peut-être les
humains qui les mangent, plus sensibles aux maladies.

La présence du gène VI laisse les céréales transgéniques
fondamentalement sans défenses contre les maladies et les
envahissements de virus et on pense qu’il cause une expression de gène
aberrante dans les céréales qui le possèdent. Cela veut dire que la
séquence génétique toute entière d’une plante peut muter à cause du
gène VI, résultant en une production de protéines incohérentes dans
les cellules de la plante, une expression à tort et à travers du gène
dans l’organisme et même des malformations de croissance.

Les scientifiques connaissaient depuis des années la présence de gènes
viraux semblables dans les OGM, mais ils n’ont jamais précisé
exactement la manière dont ces gènes et les changements génétiques
énormes qu’ils induisent affectent la santé humaine. Et aucun
gouvernement ayant approuvé des OGM commerciaux contenant des gènes
viraux n’a jamais exigé que des tests de sécurité corrects soit faits
pour identifier toute menace potentielle sur la santé, ce qui veut
dire que l’humanité sert de cobaye collectif à cette expérience
scientifique de biotechnologie à grande échelle.

»Une information pertinente sur l’existence du gène VI était librement
disponible dans la littérature scientifique bien avant la première
approbation biotech, » ajoute l’ISN sur ce scandale.

Source: Natural News

Traduit par Hélios pour le BBB

lundi 11 février 2013

Qui n'a pas encore pris sa vitamine D ?!


Au mois de février, les populations de l'hémisphère nord atteignent leur taux le plus bas de vitamine D de l'année, parce que beaucoup de gens ne se sont plus sérieusement exposées au soleil depuis maintenant 5 mois 


Plus de 8 Français sur 10 manquent de vitamine D.

Une étude réalisée en région Rhône-Alpes et en Gironde entre février et avril 2009 auprès de 281 hommes âgés de 19 à 59 ans a trouvé que 94 % d'entre eux manquent de vitamine D, plus d'un sur quatre (27 %) étant même en déficit sévère.

En particulier, les personnes de plus de 70 ans synthétisent 4 fois moins de vitamine D qu'une personne jeune, à exposition comparable, à cause du vieillissement de la peau. Une personne âgée sortant peu sera presque automatiquement carencée. De même, les enfants sont très souvent en déficit de vitamine D, parce que trop peu exposés au soleil.

Les déficits en vitamine D sont liés à une grande variété de problèmes de santé : risque de fracture; risque de certains cancers; diabète et maladie de Parkinson; risque de décès précoce; risque de grippe; dépression

Tous ces risques peuvent être facilement réduits : il suffirait d'informer la population que chacun doit prendre un peu de vitamine D, sous forme de complément alimentaire (car vous en trouvez très peu naturellement dans votre nourriture, en dehors des poissons gras).

La vitamine D prescrite par les médecins

Beaucoup de médecins aujourd'hui sont conscients du problème et pensent spontanément à prescrire des ampoules de vitamine D à leurs patients.

Généralement, il s'agit cependant d'ampoules de doses massives de 100 000 , 200 000 Unités Internationales (UI) à prendre en une à deux fois.

Il n'est pas certain que ce soit idéal. Ces ampoules sont en fait plutôt conçues comme doses thérapeutiques, c'est à dire à prendre en cas d'urgence, pour faire cesser des symptômes évidents de carence.

Mais cela revient à prendre un mois de soleil en pleine figure en l'espace de quelques minutes.

Non seulement ce n'est pas physiologique, car nous fabriquons un peu de vitamine-D3 chaque fois que nous nous exposons régulièrement au soleil, d'autre part l'organisme peine à utiliser et stoker cette arrivée massive de vitamine D.

Moyens naturels d'avoir le bon niveau de vitamine D

En principe, la vitamine D est fabriquée naturellement par votre corps, sous l'effet des rayons UVB du soleil. Mais encore faudrait-il, pour en avoir assez, que vous vous exposiez tous les jours, y compris le torse, pendant au moins 30 minutes, et ce à la mi-journée.

Pour tous ceux d'entre nous qui vivons dans des régions froides ou pluvieuses, ou qui travaillons dans des bureaux, c'est un défi difficile à relever d'octobre à mars. La prise de compléments est donc utile, et elle pourrait même être systématique chez les personnes de plus de 70 ans, dont la peau absorbe 4 fois moins les UVB que les autres, et qui ne synthétisent presque plus de vitamine D.

Mais même si vous êtes jeune et que vous êtes fortement exposé cet été, il faut savoir que les réserves que vous aviez constituées sont probablement aussi consommées aujourd'hui, 1er février. En effet, votre corps en consomme 5000 UI (unités internationales) par jour, soit près de cinquante fois plus que ce qu'apporte votre alimentation.

Vous ne pouvez malheureusement même pas compter sur les aliments enrichis en vitamine D, y compris le lait : c'est un simple argument marketing pour vous faire acheter, sans réel bienfait pour vous. Les aliments enrichis en vitamine D n'apportent qu'une petite proportion des doses officielles conseillée. En aucun cas ils n’ont d'effet sur les maladies susceptibles d’être améliorées par la vitamine D.

Quelle forme choisir ?

Il existe plusieurs formes de vitamine D dans le commerce. Mais une seule correspond à la vitamine D naturellement fabriquée par la peau : c'est la vitamine D3, ou cholécalciférol.

Il semble qu'elle possède une activité biologique supérieure car, lorsqu'on en donne à des hommes une dose de 50 000 UI, le taux reste plus élevé dans le sang au bout de trois jours que lorsque ce sont d'autres formes de vitamine D, comme la D2.
Pour faciliter son absorption, vous devez consommer votre vitamine D3 avec de la graisse, donc au milieu d'un repas.
Vous pouvez en trouver en pharmacie, où elle ne coûte que quelques euros, mais il est difficile d'en connaître l'origine, naturelle ou non.
Certains laboratoires de compléments alimentaires naturels vendent la vitamine D3 directement sous forme huileuse et biologique. Peut être la plus pratique :
  • Vous avez un petit flacon spécialement conçu pour être transportable sans risque de se casser, et que vous pouvez avoir en permanence dans le tiroir de votre bureau, votre sac-à-main, ou même votre poche.
  • Un seul flacon dure six mois, soit une saison entière de vitamine D (octobre à mars), pour une personne.
    Il suffit d'en prendre une à trois gouttes, directement sur la langue, à n'importe quel moment de la journée (cela n'a pas de goût, sauf peut-être un léger goût d'orange).
  • Le flacon est muni d'une pipette qui vous permet de prendre très facilement vos gouttes, sans risque de surdosage.
  • Il n'y a pas à casser d'ampoule, ni à avaler de comprimé ou de gélule indigeste ;
  • Vous n'absorbez pas d'additif douteux ou chimique en même temps que votre vitamine D.
A ma connaissance, deux marques en France commercialisent la vitamine D3 de cette façon : le laboratoire Lescuyer, et le laboratoire D-Plantes.
http://www.jardindebeaute94.com